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Sourate Al-Kahf - La Caverne 

قُل لَّوْ كَانَ الْبَحْرُ مِدَادًا لِّكَلِمَاتِ رَبِّي لَنَفِدَ الْبَحْرُ قَبْلَ أَن
تَنفَدَ كَلِمَاتُ رَبِّي وَلَوْ جِئْنَا بِمِثْلِهِ مَدَدًا

« Dis : " Si la mer se faisait d'encre pour (écrire) le langage de mon Maître, elle s'y épuiserait, même si Nous en doublions l'étendue, avant que ne s'épuisât le langage." »

Allah ordonne à Son Envoyé de dire cela. Si toutes les eaux étaient encre, destinée à l'écriture des paroles et des sagesses divines, elles ne suffiraient point, puisqu'elles s'épuiseraient tout court.
« même si Nous en doublions l'étendue » signifie : Même si Nous apportions une autre mer, puis une autre :
« Tout ce qu'il y a d'arbres sur la terre se ferait calame, et d'encre se ferait mer, se grossit-elle de sept autres mers, n'épuiserait pas la parole d'Allah, le Tout-Puissant, le Sage. »
Selon Ar-Rabî' ben Anas, le savoir des hommes en entier est par rapport au savoir d'Allah comme une goutte d'eau de toutes les mers. Si les mers étaient d'encre et les arbres des plumes, celles-ci se consumeraient et les mers s'épuiseraient devant les paroles d'Allah qui resteront sans que rien ne puisse les épuiser.

(Tafsir Ibnou-Kathir)

 

 

© La Plume de l'Islam

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




 

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